La société civile irakienne cherche un modèle de coexistence
Invités à Sarcelles (Val d’Oise), un groupe d’Irakiens a pu dialoguer pendant une semaine avec des interlocuteurs français. Shammeran Odesho est présidente de la Ligue des femmes irakiennes à Bagdad. Salman Sada est président de la Société culturelle mandéenne. Sa communauté – un groupe religieux gnostique vivant en Irak et en Iran (1) – est souvent visée par les extrémistes musulmans. Saja Hashim a 20 ans. étudiante en espagnol à l’université de Bagdad, elle représente l’Union générale des étudiants irakiens et c’est la première fois qu’elle quitte son pays. Ils faisaient partie d’un petit groupe d’Irakiens, de toutes confessions et originaires de différentes régions du pays, venus en France dans le cadre d’un projet de soutien aux organisations de la société civile irakienne, mis en œuvre par le réseau pour un Irak au futur démocratique (IDFN), Alternatives (Canada), ses partenaires d’Initiatives pour un autre monde (Ipam, France) et du Forum des alternatives Maroc (FMAS). Lire l’article sur le site de La Croix.