Lors de sa visite, le Premier ministre italien, Silvio Berlusconi, n’a cessé de rappeler son envie de voir Israël rejoindre l’Union européenne (UE). Lorsqu’il l’a déclaré debout devant la Knesset mercredi, tout le monde a applaudi. Ils ont applaudi, même si chacun sait que ça n’arrivera sans doute jamais. D’abord parce que l’UE ne veut pas de nous, mais aussi parce que nous ne voulons pas nécessairement rejoindre ce club. Mais nous avons applaudi. Nous avons applaudi même s’il ne s’agit que de paroles en l’air, simplement pour le symbole. Lire la suite de l’article de Herb Keinon sur le site de Jérusalem Post