“Le Conseil œcuménique des Églises appelle à des actions communes pendant la « Semaine mondiale pour la paix en Palestine Israël » du 29 mai au 4 juin. « Voilà maintenant plus de 60 ans que la partition de la Palestine a fait de la vie des Palestiniens un cauchemar permanent. Voilà plus de 40 ans que Jérusalem-Est, la Cisjordanie et Gaza sont occupés, réduisant à néant la vision pacifique de deux peuples sur une seule terre. » Ces phrases ne sont pas extraites d’un communiqué d’une association militante pro-palestinienne, mais du document officiel du Conseil œcuménique des Églises (COE) expliquant le bien-fondé de la Semaine mondiale pour la paix en Palestine-Israël commençant ce samedi 29 mai. L’organisation représentant 349 Églises protestantes et orthodoxes appelle ses membres et ses partenaires à « envoyer un signal clair aux décideurs politiques, aux milieux concernés et à leurs propres paroisses » afin de promouvoir une paix juste en Palestine et en Israël. Les actions mises en avant, y compris le choix des mots, vont à l’encontre du diplomatiquement correct habituel. À titre d’exemple, le COE souligne qu’il « s’oppose à l’annexion de Jérusalem-Est ». Israël n’utilise jamais le terme « annexion ». Plus généralement, les remarques de circonstance sur la nécessité pour Israël de vivre en sécurité avec des voisins qui reconnaissent sa légitimité sont rares. Elles disparaissent pratiquement dans la masse d’informations concernant les Palestiniens”. Lire la suite de l’article de Henrik Lindell sur le site du journal Témoignage Chrétien.
