Au Liban, quand femme de ménage rime avec esclavage

Selon un rapport de Human Rights Watch, une domestique étrangère se suicide chaque semaine. Elles seraient plus de 200 000 à être exploitées dans une relative indifférence. L’association Caritas Liban recueille les femmes en fuite et les pousse à briser la loi du silence..” Lire la suite sur le site de l’Humanité