La position de Berry sur la déconfessionnalisation confirme-t-elle le retour de la Syrie au Liban ?

Dans les milieux politiques, on s’étonne toujours de la détermination du président de la Chambre, Nabih Berry, à vouloir faire adopter des dossiers conflictuels, comme l’abolition du confessionnalisme politique et l’abaissement de la majorité électorale, en dépit des contestations exprimées aussi bien au sein de l’opposition que de la majorité.
Normalement, le président du Parlement essaie, à chaque fois qu’il veut proposer un dossier à examen, de lui assurer une couverture politique et d’engager, à cette fin, des consultations préalables, ce qu’il n’a pas fait cette fois, au point que son insistance a été considérée comme un défi.” Lire la suite de l’article de Philippe Abi Akl dans L’Orient Le Jour